Décryptage des réquisitions et des enjeux explosifs de cette affaire avec Vincent Brengarth, avocat pour l’association Sherpa, une des ONG qui s’est constituée partie civile.

Aujourd'hui, dans La Contre-Matinale, nous recevons un invité de poids : Vincent Brengarth, avocat de l'ONG Sherpa, qui s'est constituée partie civile dans le procès de Nicolas Sarkozy, accusé d'avoir financé sa campane électorale avec des fonds libyens. Une affaire qui ne cesse de faire parler, où le parquet national financier a requis une peine de 7 ans de prison et 300 000 euros d'amende contre l'ex-président.

Dans cette interview exclusive, Vincent Brengarth revient sur les enjeux de ce procès d'ampleur, l'importance de l'engagement de Sherpa et la lutte contre l'impunité des puissants. Il nous livre également son analyse sur les stratégies juridiques mises en place par le savocats de Nicolas sarkozy et des 10 autres prévenus. Selon lui, les mots du procureur du PNF selon lesquels Nicolas Sarkozy a fait preuve d'une "quête effrénée de financement, d'une ambition politique dévorante" et est le "véritable décisionnaire et commanditaire du pacte de corruption inconcevable, inouï et indécent", noué avec Mouammar Kadhafi, sont tout à fait en corrélation avec tout ce qui a été prouvé pendant ces mois de procès et cohérents avec les réquisitions.

Si vous voulez comprendre les coulisses de ce procès historique et découvrir la vision d'un avocat qui se bat pour la justice, ne manquez pas cet entretien .