« Carte blanche », c’est la rubrique du Média consacrée à nos coups de gueule, coups de cœur et à nos partis pris. À nos opinions, étayées par des faits scrupuleusement respectés mais éclairés par nos différentes sensibilités.
Barnier bientôt censuré : pourquoi tout le monde veut la peau de Macron ?
Emmanuel Macron va t-il devoir démissionner ? Après la tempête politique qui s’abat en ce moment sur le gouvernement Barnier, l’exécutif n’a plus de fusible à débrancher, à part lui-même...
Emmanuel Macron va t-il devoir démissionner ? Après la tempête politique qui s’abat en ce moment sur le gouvernement Barnier, l’exécutif n’a plus de fusible à débrancher, à part lui-même. Et les appels à la démission ou à une destitution d’Emmanuel Macron se font de plus en plus entendre au sein de tous les partis d'opposition, de LFI à LR, en passant par des centristes. Michel Barnier se retrouve sur la sellette, trois mois seulement après sa nomination à Matignon. Un ébranlement politique qui fait revenir sur le devant de la scène la question de la destitution, voire de la démission du président de la république. Cette question précise de la destitution avait été poussée il y a quelques semaines par Insoumis. On se souvient qu’une de leur proposition de loi allant dans ce sens avait été examinée puis largement rejetée en commission des lois début octobre, rejetée par 54 députés sur les 69 ayant pris part au vote. Alors le départ d’Emmanuel Macron, est-ce la suite logique de cette séquence parlementaire de fin d’année ? Sa popularité elle-même est au plus bas. Selon un sondage réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV, 63 % des Français seraient favorables à une démission du président de la République Emmanuel Macron en cas de chute du gouvernement Barnier.
On en parle dans un instant avec Beligh. Et en seconde partie de cet échange on évoquera l’actualité à Gaza, et une question affligeante au regard du bilan en pertes humaines des frappes Israéliennes depuis un peu : pourquoi le déni du génocide persite t-il ? Éléments de réponse comme toujours dans cette chronique de Beligh Nabli