Leurs histoires, touchantes, révoltantes, édifiantes ou inspirantes, nous disent quelque chose de notre actualité. Ils ont accepté de venir face à la caméra du Média pour les partager, et si possible nous bousculer et modifier nos perceptions.
Retraites : les éditocrates, ces parasites donneurs de leçons
"Ironie du sort, cette réforme des retraites nous est vendue par des vieux politiciens et philosophes dont le corps et l’esprit sont tout bien préservés par des décennies de parasitisme politique et social aux crochets de notre pays, et de nos nerfs."
Ils sont sur tous les plateaux TV, et ils passent leurs journées à vous expliquer que vous devez travailler plus longtemps car vous vivez plus longtemps, et souvent, leur travail est d’aller de plateaux TV en plateaux TV vous expliquer que vous devez travailler jusqu’à 70 ans, pour moins cher, et que c’est comme ça ma pauvre dame.
C’est pour dénoncer cette hypocrisie incroyable et ces contre vérités que Nicolas Framont, rédacteur en chef de la revue de critique sociale Frustration, a décidé de répondre à travers un texte qu’il est venu lire au Média.
Ces Ferry, Cohn Bendit etc, sont souvent des gens qui ont vécu aux crochets de la République toute leur vie, ou qui ont ciré les pompes aux puissants bien au chaud dans leurs emplois bien rémunérés, ceux ci n’ont même pas pu pour Ferry par exemple, honorer les métiers pour lesquels ils étaient payés, vivent grassement du contribuable à leurs postes d’élus depuis des décennies, mais expliquent que le travail n’est pas pénible, que les gens pauvres doivent faire des efforts financiers, et notamment, presque crever à leur poste de travail, pour que ces éditocrates puissent continuer grassement rémunérés à mépriser les pauvres gens et à les culpabiliser en leur demandant plus alors qu’ils n’ont déjà rien.