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Mélenchon contre Macron, l'injustice Parcoursup
Au programme de la 152 ème édition de la Contre-Matinale du Média TV, présentée ce mercredi 8 juin par Nadiya Lazzouni…
· Titrologie : Retrouvez la traditionnelle rubrique dans laquelle nous analysons les unes de la presse mainstream et revenons sur leur vision de l'agenda médiatique. Puis, un petit focus sur différents contenus proposés par nos camarades de la galaxie des médias indépendants et alternatifs…
· L'invité : Ugo Bernalicis, député de la 2 circonscription du Nord Les propos de Jean-Luc Mélenchon sur la police continuent de faire polémique. Et de provoquer l'ire de la droite extrême et de l'extrême droite. Pour rappel : à la suite d'une course poursuite qui s'est soldée par le décès d'une femme, et par un blessé grave, le leader de la LFI a déclaré dans un tweet : « Encore un abus de pouvoir inacceptable. La peine de mort pour un refus d'obtempérer. Le préfet approuve ? Le ministre félicite ? La honte c'est quand ?», avant deux jours plus tard de réitérer sur le même réseau social : « La police tue, et le groupe factieux Alliance justifie les tirs et la mort pour ''refus d'obtempérer''. La honte c'est quand ? » Une ligne politique franche qui n'est pas passée inaperçue dans les médias avides de polémiques. Interrogée à propos des déclarations de son principal concurrent au poste de premier ministre Elisabeth Borne a dénoncé des propos « outranciers » et « très choquants ». Si la France Insoumise et la NUPES insistent sur une réforme pour une police de proximité et une police citoyenne, certaines voix à la gauche de la gauche posent une autre question dont la radicalité n’a d’égal que la simplicité : faut-il en finir avec la police ? On en parle avec Ugo Bernalicis, député de la 2 circonscription du Nord et auteur du "livret Sécurité" du programme de la France Insoumise
·La dernière heure : Arnaud Bontemps,
co-porte parole du collectif « Nos services publics »
C'est une note sur Parcoursup, travaillée entre enseignant.e.s chercheur.e.s, de lycée et haut.e.s fonctionnaires, qui ne fera pas plaisir aux partisans de la plateforme de sélection post-bac.
Dans celle-ci les auteurs analysent le lien entre les caractéristiques de l’algorithme et le stress des lycéens, en chiffre le coût (spoiler alerte : exubérant) sur l’enseignement secondaire et identifient quelques fausses critiques et vraies impasses du système.
Pour en discuter, Le Média reçoit Arnaud Bontemps, co-porte parole du collectif « Nos services publics »