Alors que la fin du pass sanitaire était prévue pour le 15 novembre, une poignée de députés ont voté dans la nuit de mardi à mercredi, la prolongation du pass sanitaire pour neuf mois supplémentaires, jusqu’à l’été 2022.

Bien que d’un point de vue sanitaire, le maintien du pass est difficilement justifiable, dans ce nouvel édito, Cemil pointe du doigt un vote en catimini et dans la précipitation, au mépris de la démocratie. Aussi, il revient sur les nombreux mensonges du gouvernement à l’occasion de cette crise sanitaire et dénonce un arsenal législatif sécuritaire et liberticide.